Initiée depuis plus de 20 ans à diverses traditions tantriques et chamaniques, je propose des espaces cadrés et bienveillants pour explorer ces enseignements de sagesse et d’amour, et sentir pleinement son désir de vivre qui on est vraiment.
Mon parcours de vie est raconté dans la biographie « Et tu seras chamane » parue aux Éditions Trédaniel (2021)
ainsi que le dans le podcast dédié à ce livre.
Dans mon pays d’origine, l’Espagne où je suis née en 1958, mon prénom n’a rien de surnaturel.
C’est mon maitre Swami Yoga Anand Bharati qui m’a donné mon nom initiatique, Amrita, qui parle de ma mission d’âme. Amrita signifie « nectar d’immortalité », tout un programme…
Dans ma petite enfance, j’ai voyagé entre la vie et la mort à deux reprises (N.D.E) pour ensuite revenir de ce côté-ci du monde. J’en ai gardé un don de médium et une sensibilité particulière. Dès 28 ans, j’ai fait l’expérience de la maternité.
A 40 ans, ma sensibilité m’a amenée à rencontrer Swami Yoga Anand Bharati, moine shivaïte originaire du Népal.
Swami m’a enseigné l’Ayurvéda, en particulier le massage ayurvédique où le toucher est un acte sacré.
A la même période, j’ai rencontré des chamans d’Amérique du Nord et été initiée aux enseignements de la sexualité sacrée (Chuluaqui Quodoushka). L’alliance Tantra-Chamanisme était en route.
Formée ensuite auprès de Margot Anand (SkyDancing© Tantra), j’ai intégré son équipe d’accompagnement pendant 10 ans et suis devenue enseignante certifiée.
Pour mes propres ateliers, j’ai commencé par rassembler les femmes en l’an 2000 autour du Féminin Sacré.
J’ai compris que ma couleur personnelle serait d’être une passerelle entre les enseignements du Tantra et du Chamanisme. Ces deux dimensions, l’une plus incarnée et l’autre plus éthérée, ne seraient pas mises en dualité mais rassemblées en un endroit rayonnant pour danser ensemble.
Finalement, la rencontre au Népal avec Nuptul Tenpei Nyima Rinpoché et Karma Minyur Dorji Rinpoché, moines bouddhistes du Vajrayana, m’a ramenée à l’origine du Tantra et de ses enseignements.
Depuis, je soutiens leur monastère via l’association Mahasuka-Switzerland que j’ai co-fondée avec Jean-Gabriel Eynard.