Durant cette deuxième semaine, nous poursuivons l’exploration de notre désir ardent d’être pleinement vivantes et vivants dans toutes nos dimensions, à la fois sauvage et domestique, archaïque et civilisée. Comment pouvons-nous composer avec tout cela, et laisser mourir les conditionnements dont nous n’avons plus besoin ?
Le Vautour, passeur d’âmes dans la tradition sud-amérindienne, nous aide à faire ce passage. Sa médecine nous invite à laisser mourir tout ce dont nous n’avons plus besoin. C’est un cycle de vie, de mort et de renaissance, qui parle de notre passage sur terre et de comment pouvoir s’alléger.
Dans cette réserve naturelle où les temps à l’extérieur sont rallongés, pratiques respiratoires, marches silencieuses et exploration des mémoires aquatiques nous emmènent au cœur de notre force de vie, de notre immunité.